« Les femmes qui s’étaient tenues près de la croix du Christ attendirent impatiemment que les heures du sabbat fussent écoulées. Le premier jour de la semaine, de très bonne heure, elles se rendirent au tombeau, apportant des aromates précieux pour oindre le corps du Sauveur. Elles étaient loin de s’imaginer qu’il fût ressuscité d’entre les morts. Le soleil de leur espérance s’était couché, et la nuit s’était faite dans leurs cœurs. Tout en marchant, elles s’entretenaient des œuvres de miséricorde du Christ et de ses paroles de consolation.