« Si je marche au milieu de l’adversité, tu me rendras la vie; tu étendras ta main contre la colère de mes ennemis, et ta droite me délivrera. » (Psaumes 138:7)
S’il semble affreux de marcher dans la détresse, cette marche est bénie, car une promesse spéciale lui est attachée. Et si j’ai une promesse, que devient cette détresse? Qu’est-ce que le Seigneur m’enseigne ici? Ce « tu me rends la vie, » m’annonce que j’aurai alors plus de vie, plus d’énergie, plus de foi. N’est-il pas vrai souvent, que la difficulté nous ravive, comme le fait une bouffée d’air frais quand nous nous sentons défaillir?