« Car moi-même je paîtrai mes brebis et les ferai reposer, dit le Seigneur, l’Éternel. » (Ézéchiel 34:15)
Sous la conduite du divin Berger les saints sont copieusement nourris. Ce n’est pas une poignée insuffisante de pensées humaines vides et creuses qui leur est présentée; mais le Seigneur les nourrit de vérité solide et substantielle de la Révélation.
« J’aime ceux qui m’aiment; et ceux qui me cherchent me trouvent. » (Proverbes 8:17)
La sagesse aime ceux qui l’aiment et cherche ceux qui la cherchent. Il est déjà sage celui qui désire l’être, et il a presque trouvé la sagesse, celui qui la cherche avec soin. Ce qui est vrai pour la sagesse en général, l’est tout spécialement pour la sagesse incarnée en Jésus. C’est lui que nous devons aimer et chercher et, en retour, nous jouirons de son amour et le trouverons lui-même de bonne heure dans la vie et de bonne heure dans la journée.
Lire Ellen G. White, « Jésus bénissant les enfants » et « Il te manque une chose », dans Jésus-Christ, pp. 508-518.
« Jésus a toujours aimé les enfants. Il acceptait leur affection franche et naturelle. Les louanges de reconnaissance qui sortaient de leurs lèvres pures, comme une douce musique à ses oreilles, réconfortaient son esprit oppressé par le contact des hommes rusés et hypocrites. Où qu’il allât, par son aspect bienveillant et son accueil si doux, le Sauveur gagnait l’amour et la confiance des enfants. » Ellen G. White, Jésus-Christ, p. 508.