Pour réfléchir à ce que nous pourrions faire, individuellement et collectivement, pour faire progresser l’amour et la justice de Dieu dans notre monde, il convient de commencer par nous concentrer sur ce que Dieu nous a commandé.
Lisez Matthieu 22:34-40. Comment Jésus avait-Il répondu à la question du docteur de la loi?
Selon Jésus Lui-même, le « premier et le plus grand commandement » est « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée ». Et Jésus ajouta: « le second, qui lui est semblable: tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Ces commandements ne sont cependant pas isolés. Jésus enseigna en outre: « De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes » (Mt 22:37–40, LSG). En effet, ces commandements sont eux-mêmes cités de l’Ancien Testament.
Lisez Matthieu 19:16-23. Comment les réponses de Jésus aux questions du jeune homme riche sont-elles liées à Ses réponses à la question du docteur de la loi dans Matthieu 22?
Que se passait-il dans ce passage? Pourquoi Jésus avait-Il répondu à ce jeune homme ainsi? Et que devraient nous dire ces rencontres, quelle que soit notre rang ou notre statut social?
« Les conditions que le Christ offrit au chef étaient les seules qui pouvaient lui permettre de former un caractère vraiment chrétien. Ses paroles étaient sages, sous leur apparence sévère et excessive. Il n’y avait d’espoir de salut pour le chef que s’il les acceptait et s’y conformait. La position élevée qu’il occupait et les richesses dont il jouissait exerçaient une influence mauvaise, quoique sub-tile, sur son caractère. S’il s’attachait à ces choses, elles finiraient par prendre la place de Dieu dans ses affections. Refuser quoi que ce soit à Dieu, c’était amoindrir sa force morale, car l’attachement aux choses du monde, incertaines et indignes de nous, finit par absorber toute notre attention. » Ellen G. White, Jésus-Christ, p. 516.
Bien que nous ne soyons pas tous appelés à vendre tout ce que nous avons, comme ce jeune homme riche, à quoi pourriez-vous, personnellement, vous accrocher, au point que si vous n’abandonnez pas, cela pourrait conduire à votre ruine éternelle?