« Ainsi a dit le Seigneur; l’Éternel: Quoique je les aie éloignés parmi les nations, et que je les aie dispersés par les pays, je leur serai comme un petit sanctuaire dans les pays où ils sont allés. » (Ézéchiel 11:16)
« Je vous consolerai comme une mère console son fils, et vous serez consolés. » (Ésaïe 66:13)
La consolation d’une mère! C’est la tendresse même. Comme elle sait entrer dans le chagrin de son enfant! Comme elle le presse sur son sein et cherche à prendre toutes ses peines sur son cœur. Il peut tout lui dire, sûr qu’elle sympathisera comme aucun autre ne le peut. De tous les consolateurs, celui que l’enfant préfère, c’est sa mère. C’est ce qu’a éprouvé même plus d’un homme fait.
« Je répondis: Ah! Seigneur Éternel! Voici, je ne sais par parler, car je ne suis qu’un enfant. Et l’Éternel me dit: Ne dis point: je ne suis qu’un enfant; car tu iras partout où je t’enverrai, et tu diras tout ce que je te commanderai. » (Jérémie 1:6,7)
« Il dit aussi, touchant Zabulon: Réjouis-toi, Zabulon, dans ta sortie. » (Deutéronome 33:18)
Nous pouvons nous appliquer les bénédictions annoncées aux tribus, car nous faisons partie du véritable Israël, si nous adorons Dieu en esprit et ne mettons pas notre confiance dans la chair. Zabulon doit se réjouir parce que l’Éternel bénira sa sortie; et nous devons voir dans cette invitation une promesse pour nous aussi. Quand donc nous avons à sortir, que ce soit pour nous une occasion de joie.
« Toute cette assemblée saura que l’Éternel ne délivre point par épée, ni par hallebarde; car ce combat appartient à l’Éternel, qui vous livrera entre nos mains. » (1 Samuel 17:47)
Ce point doit être acquis, que la bataille appartient à l’Éternel, et nous pouvons être sûrs de la victoire, même d’une victoire telle, qu’elle fera connaître toute la puissance de Dieu.