« Qu’il ne te paraisse point dur de le renvoyer libre de chez toi; car il t’a servi six ans, pour la moitié du salaire d’un mercenaire; et l’Éternel ton Dieu te bénira en tout ce que tu feras. » (Deutéronome 15:18)
Un maître israélite devait libérer son esclave au temps désigné et, lorsque celui-ci quittait son service, lui remettre un salaire généreux pour qu’il puisse s’établir. Il devait le faire cordialement et joyeusement, et l’Éternel promettait sa bénédiction sur cet acte de libéralité. L’esprit de précepte, comme la loi de Christ tout entière, nous engage à traiter nos subordonnés convenablement aussi. Rappelons-nous comment le Seigneur a agi avec nous et reconnaissons la nécessité de nous comporter de même à leur égard. Il convient d’être généreux à ceux qui sont les enfants d’un Dieu de bonté. Comment pouvons-nous attendre que notre grand Maître nous bénisse dans nos affaires, si nous sommes injustes avec ceux qui nous servent.