Lecture de la semaine
Ps 78; Jon 4:1-4; Mt 10:8; Mt 21:12, 13; Jer 51:24, 25; Rm 12:17-21.
Verset à mémorser
« Toutefois, dans sa miséricorde, il pardonne l’iniquité et ne détruit pas; Il retient souvent sa colère et ne se livre pas à toute sa fureur » (Psaumes 78:38, LSG ).
Alors que la compassion de Dieu est souvent célébrée, l’idée de Sa colère apparait effrayante à bien des égards. Ainsi, plusieurs personnes estiment que Dieu ne devrait jamais exprimer de la colère s’Il est vraiment amour. Toutefois, ce raisonnement est erroné, car la colère de Dieu est une émanation directe de Son amour.
Certains affirment aussi que le Dieu de l’Ancien Testament est un Dieu de colère et que Celui du Nouveau Testament est un Dieu d’amour. Mais il n’y a qu’un seul Dieu, et Il est révélé comme le même dans les deux Testaments. Le Dieu qui est amour se met en colère contre le mal, mais précisément parce qu’Il est amour. Jésus Lui-même avait exprimé une profonde colère contre le mal, et le Nouveau Testament enseigne à de nombreuses reprises la colère juste et appropriée de Dieu.
La colère de Dieu est toujours Sa réponse juste et aimante contre le mal et l’injustice. La colère divine est une juste indignation motivée par la bonté et l’amour parfaits, et elle cherche l’épanouissement de toute la création. La colère de Dieu est simplement la réponse appropriée de l’amour au mal et à l’injustice. Ainsi, le mal provoque la colère de Dieu qui cherche à rendre justice aux victimes du mal. La colère divine est donc une autre expression de l’amour divin.
* Étudiez cette leçon pour le sabbat 1er février.