Les réformateurs protestants et les pèlerins partis de la Hollande pour le nouveau monde attendaient avec impatience la venue de Jésus. Pour eux, la seconde venue de Christ était un évènement joyeux qu’ils attendaient avec impatience. Jean Wiclef considérait la venue de Christ comme l’espoir de l’église. Calvin avait résumé les propos de tous les réformateurs lorsqu’il désigna le retour glorieux de Christ comme étant « l’évènement le plus favorable ». Pour les hommes et les femmes fidèles à Dieu, la seconde venue de Jésus était une chose à accueillir avec joie, et non à craindre.