Lecture de la semaine
Mt 22:34-40, Zac 7:9-12, Ps 82, Mi 6:8, Mt 23:23-30, Lc 10:25-37.
Verset à mémoriser
« Si quelqu’un dit: j’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas? » (1 Jean 4:20, LSG).
Bien que nous ayons la conviction que Dieu rétablira toutes choses en fin de compte, il n’en demeure pas moins que nos actions, en tant que chrétiens, ont de l’importance ici et maintenant. Bien qu’il puisse exister de nombreuses injustices et des maux que Dieu n’éradiquera pas immédiatement (en raison des limites imposées par le conflit cosmique), cela ne signifie pas pour autant que nous ne puissions être utilisés pour atténuer les souffrances et les maux auxquels nous sommes confrontés, dans la mesure du possible. En réalité, en tant que chrétiens, nous avons le devoir de le faire.
Comme nous l’avons vu, l’amour et la justice vont de pair; ils sont inséparables. Dieu aime la justice. Par conséquent, si nous aimons Dieu, nous aimerons aussi la justice.
De même, si nous aimons Dieu, nous nous aimerons les uns les autres. Une partie de l’amour mutuel consiste au fait de nous préoccuper du bienêtre de ceux qui nous entourent. Lorsque d’autres sont affligés par la pauvreté, l’oppression ou toute autre forme d’injustice, nous devons nous inquiéter. Nous ne devons pas fermer les yeux devant l’oppression. Au contraire, nous devons nous demander ce que nous pouvons faire, individuellement et collectivement, pour faire progresser l’amour et la justice de Dieu d’une manière qui reflète, dans notre monde brisé, le caractère parfait de justice et d’amour de notre Seigneur.
* Étudiez cette leçon pour le sabbat 22 mars.