Lisez Marc 4:21-23. Sur quoi Jésus met-Il l’accent dans la parabole de la lampe?
Les maisons dans cette partie du monde à l’époque de Jésus variaient en taille et en construction, tout dépendait de l’emplacement et de la richesse. Les maisons suivaient un modèle grec de construction autour d’une cour, mais avec différents niveaux de sophistication. Jésus parlait peut-être aussi de petites maisons de paysans. Que la maison soit grande ou petite, la question portait sur ce principe: un jour la vérité sur Jésus sera révélée.
Jésus avait posé deux questions dans Marc 4:21. La première s’attendait à une réponse négative: « Apporte-t-on la lampe pour la mettre sous le boisseau, ou sous le lit? » La deuxième question s’attendait à une réponse positive: « N’est-ce pas pour la mettre sur le chandelier? » Jésus présenta un scénario absurde, presque humoristique, pour faire valoir son point de vue. Les lampes ne servent qu’à éclairer, sinon elles perdent leur but. Marc 4:22 explique la parabole en faisant référence aux secrets rendus publics. Toute personne dont le courrier électronique ou l’ordinateur a été une fois piraté sait comment des secrets sont rendus publics! Mais Jésus parlait ici de l’évangile.
Lisez Marc 4:24, 25. Quelle leçon Jésus enseigne-t-Il par la parabole de la mesure?
Dans de nombreux endroits du monde, les produits bruts sont vendus en plain air dans les marchés. Les vendeurs disposent généralement d’un instrument pour mesurer le produit qu’ils vendent. C’est une pratique courante de ces vendeurs d’ajouter un peu plus à une vente pour aider l’acheteur à sentir qu’il est traité équitablement. Jésus reprend la façon dont les bons vendeurs traitent les acheteurs pour faire valoir leur ouverture à la vérité. Si quelqu’un est ouvert et suit la lumière, il obtiendra encore plus. Mais s’il rejette la lumière, même ce qu’il avait auparavant lui sera enlevé.
Comment pouvons-nous mieux apprendre le principe selon lequel on nous mesurera avec la mesure dont nous nous servons? Pensez-y dans toutes vos relations avec les autres.