« Aucune arme forgée contre toi ne réussira; et tu condamneras toute langue qui s’élèvera contre toi en jugement. Tel est l’héritage des serviteurs de l’Éternel, et la justice qu’ils recevront de moi, dit l’Éternel. » (Ésaïe 54:17)
Lisez Ellen G. White, « Le sacrifice d’Isaac », pp. 118-127, dans Patriarches et prophètes; « Dans le prétoire de Pilate », pp. 725-744, dans Jésus-Christ.
Thomas « se jeta aux pieds de Jésus en s’écriant: “Mon Seigneur et mon Dieu!”
« Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. » (Jean 14:14)
Quelle latitude dans cette promesse! Quelque chose, quoi que ce soit! Petits ou grands, tous mes besoins sont compris dans cette expression. Va donc, mon âme, avec liberté et hardiesse au trône de grâce et ouvre ta bouche grande, elle sera remplie.
À maintes reprises, alors que Jean présente des témoins de Jésus, son but est de nous amener à une conclusion radicale: « Jésus a fait encore, en présence de ses disciples, beaucoup d’autres miracles, qui ne sont pas écrits dans ce livre. Mais ces choses ont été écrites afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie en son nom » (Jn 20:30, 31).
« Voici, celui qui garde Israël ne sommeillera point, et ne s’endormira point. » (Psaumes 121:4)
L’Éternel est le gardien d’Israël. Aucun état d’inconscience, d’assoupissement, ni de sommeil ne peut le surprendre. Il veille constamment sur la demeure comme sur le cœur de son peuple. C’est là une raison suffisante pour que nous demeurions dans une paix parfaite. Alexandre le Grand disait qu’il pouvait dormir quand son ami Parménion veillait. A bien plus forte raison pouvons-nous être en repos quand notre Dieu faut lui-même la garde.
Lisez Jean 20:19-31. Que pouvons-nous apprendre de l’histoire de Thomas sur la foi et le doute? Quelle erreur majeure Thomas avait-il commise?
Le Christ était apparu aux disciples après Sa résurrection, alors qu’ils s’étaient enfermés dans une pièce à cause de la peur. Thomas n’était pas avec eux. Plus tard, il entendit les rapports de la résurrection de Jésus, mais il ne crut point. Cela ne correspondait pas à l’image qu’il se faisait du royaume. Et il avait surement dû se demander pourquoi Jésus se serait révélé aux autres en son absence.
Jean rapporte à maintes reprises les tentatives des chefs religieux de s’emparer de Jésus, de Le traduire en justice et de Le condamner à mort. L’un des thèmes de l’Évangile de Jean, souvent énoncé par Jésus, est que Son heure n’était pas encore venue, ce qui signifie le temps de Sa crucifixion (Jn 2:4; Jn 7:6, 8, 30; Jn 12:7, 23, 27; Jn 13:1; Jn 17:1.)
Maintenant, l’heure était venue. Jésus fut arrêté dans le jardin de Gethsémani, amené devant Anne, puis Caïphe le souverain sacrificateur, puis deux fois devant Pilate.