Lire Ellen G. White, « Ministère » et « Qui est le plus grand? », dans Jésus-Christ, pp. 422-440.
« L’humilité précède la gloire. Pour occuper une place élevée aux yeux des hommes, le ciel choisit l’ouvrier qui, comme Jean-Baptiste, prend une place humble devant Dieu. Le disciple qui ressemble davantage à un enfant est l’ouvrier le mieux qualifié pour l’œuvre de Dieu. Les intelligences célestes sont prêtes à coopérer avec celui qui cherche à sauver les âmes et non à s’élever au-dessus des autres. » Ellen G. White, Jésus-Christ, p. 433.
« Tout ce qui nous donne un avantage sur d’autres, qu’il s’agisse d’instruction, de distinction, de noblesse de caractère, de formation chrétienne, d’expérience religieuse, nous rend débiteurs à l’égard de ceux qui sont moins favorisés; nous devons nous mettre à leur service dans toute la mesure du possible. Sommes-nous forts? Soutenons les mains des faibles. Des anges glorieux, qui sans cesse contemplent la face du Père céleste, accomplissent avec joie leur ministère en faveur des plus petits. Les âmes tremblantes, ayant de déplorables défauts de caractère, leur sont spécialement confiées. Des anges sont toujours présents là où le besoin est le plus pressant, où la bataille fait rage, où les circonstances sont le plus décourageantes. Les vrais disciples du Christ doivent apporter leur coopération à ce ministère. » — P. 437.
Discussion:
Relisez Marc 8:27-29. Combien de fois confessez-vous aux autres votre croyance en Jésus comme étant le Christ?
Quel est le juste équilibre entre l’expérience de la communion avec Christ au sommet de la montagne et l’expérience simple du service aux besoins des autres?
Dans votre cellule de l’école du sabbat, discutez de la réponse à la question sur la grandeur à la fin de l’étude de mercredi. Qu’avez-vous déterminé être la différence entre la façon dont le monde voit la grandeur et la manière dont Dieu la voit? Qui sont ceux que le monde juge grands, mais que Dieu ne juge peut-être pas ainsi? En revanche, qui Dieu peut-Il juger grand, mais que le monde ignore ou même dédaigne? Que nous dit cette différence sur la façon dont les idéaux du monde sont vraiment déformés et tordus?
Comment pouvons-nous apprendre à prendre le péché très au sérieux au point que, comme l’a dit Jésus, il vaudrait mieux être mutilé que de pécher?