« L’Éternel, le Seigneur, est ma force; il rend mes pieds semblables à ceux des biches, et me fait tenir sur mes hauteurs. Au maître-chantre, avec instruments à cordes. » (Habakuk 3:19)
« Mais maintenant je briserai son joug de dessus toi, et je romprai tes liens. » (Nahum 1:13)
Les Assyriens ont pu quelque temps opprimer le peuple de Dieu, mais leur puissance devait être brisée. Bien des cœurs peuvent être tenus dans l’asservissement par Satan, et souffrir cruellement dans cet esclavage. C’est pour eux que le Seigneur proclame cette parole d’espérance: « Je briserai son joug de dessus toi, et je romprai tes liens. »
La fable selon laquelle la mort n’est en fait que l’entrée dans une nouvelle étape de la vie repose sur le concept de l’immortalité naturelle de l’âme. Cette idée païenne s’est infiltrée très tôt dans l’église, qui s’était éloignée de ses fondements bibliques pour tenter de rendre sa foi compréhensible au grand monde romain: « La théorie de l’immortalité de l’âme est un des emprunts que Rome a faits au paganisme pour l’incorporer à la foi chrétienne. » Ellen G. White, La tragédie des siècles, p. 485.