Lisez Gn 15:16, Lv 18:24-30, Dt 18:9-14 et Esd 9:11. Que nous disent ces textes sur le plan plus vaste de Dieu en offrant la terre de Canaan aux Israélites?
Nous devons regarder au-delà du livre de Josué pour comprendre complètement ce que signifiait l’iniquité des nations habitant Canaan. Les pratiques odieuses de ces nations en matière de sacrifice d’enfants, de divination, de sorcellerie, de magie, de nécromancie et de spiritualisme nous donnent un indice (Dt 18:9-12).
La découverte des anciens textes ougaritiques (de Ras Shamra) donne un meilleur aperçu de la religion et de la société cananéennes, et ils démontrent que le rejet de cette culture était non seulement compréhensible, mais aussi justifiée selon les normes morales de l’Ancien Testament.
La religion cananéenne était basée sur la croyance que les phénomènes naturels, qui assuraient la fertilité, étaient contrôlés par les relations sexuelles entre les dieux et les déesses. Ainsi, ils envisageaient l’activité sexuelle des divinités en termes de leur propre comportement sexuel et s’engageaient dans des pratiques sexuelles rituelles afin d’inciter les dieux et les déesses à faire de même. Ce concept avait conduit à l’institution de la prostitution « sacrée », impliquant le fait que des prostitués masculins et féminins se livrent à des rites orgiaques, encore une fois dans le cadre de leurs propres pratiques religieuses!
Une nation ne saurait s’élever moralement au-delà du niveau des divinités qu’elle vénère. Dès lors, compte tenu de la conception que les Cananéens se faisaient de leurs dieux, il n’est guère surprenant que leurs pratiques religieuses aient inclus le sacrifice d’enfants — une abomination contre laquelle la Bible met expressément en garde.
Les preuves archéologiques confirment que les habitants de Canaan sacrifiaient régulièrement leurs premiers-nés aux idoles, qui étaient en réalité des démons. De petits squelettes retrouvés écrasés dans de grandes jarres avec des inscriptions votives témoignent de leur religion dégradante et de ce qu’elle signifiait pour beaucoup de leurs enfants.
L’éradication des Cananéens n’était donc pas une réflexion après coup, ou quelque chose qui avait émergé à la suite de la décision de Dieu de donner la terre de Canaan aux Israélites. Les habitants de Canaan avaient bénéficié d’une période probatoire, un temps de miséricorde supplémentaire au cours duquel ils avaient eu l’occasion de découvrir Dieu et Son caractère à travers le témoignage des patriarches vivant parmi eux. Ils avaient l’occasion, mais évidemment, ils l’avaient gaspillée et avaient continué dans leurs pratiques horribles jusqu’à ce que l’Éternel doive finalement les arrêter.
Lisez Gn 15:16, Lv 18:24-30, Dt 18:9-14 et Esd 9:11. Que nous disent ces textes sur le plan plus vaste de Dieu en offrant la terre de Canaan aux Israélites?
Nous devons regarder au-delà du livre de Josué pour comprendre complètement ce que signifiait l’iniquité des nations habitant Canaan. Les pratiques odieuses de ces nations en matière de sacrifice d’enfants, de divination, de sorcellerie, de magie, de nécromancie et de spiritualisme nous donnent un indice (Dt 18:9-12).
La découverte des anciens textes ougaritiques (de Ras Shamra) donne un meilleur aperçu de la religion et de la société cananéennes, et ils démontrent que le rejet de cette culture était non seulement compréhensible, mais aussi justifiée selon les normes morales de l’Ancien Testament.
La religion cananéenne était basée sur la croyance que les phénomènes naturels, qui assuraient la fertilité, étaient contrôlés par les relations sexuelles entre les dieux et les déesses. Ainsi, ils envisageaient l’activité sexuelle des divinités en termes de leur propre comportement sexuel et s’engageaient dans des pratiques sexuelles rituelles afin d’inciter les dieux et les déesses à faire de même. Ce concept avait conduit à l’institution de la prostitution « sacrée », impliquant le fait que des prostitués masculins et féminins se livrent à des rites orgiaques, encore une fois dans le cadre de leurs propres pratiques religieuses!
Une nation ne saurait s’élever moralement au-delà du niveau des divinités qu’elle vénère. Dès lors, compte tenu de la conception que les Cananéens se faisaient de leurs dieux, il n’est guère surprenant que leurs pratiques religieuses aient inclus le sacrifice d’enfants — une abomination contre laquelle la Bible met expressément en garde.
Les preuves archéologiques confirment que les habitants de Canaan sacrifiaient régulièrement leurs premiers-nés aux idoles, qui étaient en réalité des démons. De petits squelettes retrouvés écrasés dans de grandes jarres avec des inscriptions votives témoignent de leur religion dégradante et de ce qu’elle signifiait pour beaucoup de leurs enfants.
L’éradication des Cananéens n’était donc pas une réflexion après coup, ou quelque chose qui avait émergé à la suite de la décision de Dieu de donner la terre de Canaan aux Israélites. Les habitants de Canaan avaient bénéficié d’une période probatoire, un temps de miséricorde supplémentaire au cours duquel ils avaient eu l’occasion de découvrir Dieu et Son caractère à travers le témoignage des patriarches vivant parmi eux. Ils avaient l’occasion, mais évidemment, ils l’avaient gaspillée et avaient continué dans leurs pratiques horribles jusqu’à ce que l’Éternel doive finalement les arrêter.